Soleil* Super Nov-A
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Posté le: Jeu Mai 15, 2014 9:04 am Sujet du message: L'invitation - Jim & Dominique Mermoux |
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Présentation éditeur
Un téléphone sonne en pleine nuit dans un appartement parisien, réveillant Raphaël et Helen. Raphaël se lève et décroche. À l’autre bout du fil, c’est son pote Léo. Son vieux pote Léo. Il est en panne avec sa voiture à plus d’une heure de route et demande à son ami, puisque ce sont des choses qui se demandent entre amis, s’il peut venir le dépanner. Après quelques hésitations - il est vrai que réveiller un ami en pleine nuit, ce ne sont décidément pas des choses qui se font, entre amis - Raphaël s’habille, attrape ses clés, et part rejoindre ce très cher emmerdeur de Léo.Sur place, en pleine cambrousse, Raphaël découvre la vraie raison de sa présence ici : Léo a appelé plusieurs de ses proches, curieux de savoir lesquels prendraient la peine de se déplacer pour lui. Un test à l’amitié, ni plus, ni moins. Raphaël est furieux d’avoir été ainsi testé ; ça ne se teste pas, l’amitié !
Le temps passe. Un mois, peut -être. Ce soir-là, Raphaël est chez lui. Seul. Il s’ennuie... Et puis, finalement... Et si lui aussi il appelait ses amis, prétextant une panne de voiture ? Qui viendrait ? Qui ne viendrait pas ? Sur qui peut-il vraiment compter ? L’idée est tellement tentante... Et ainsi, rapidement, Raphaël lance les invitations déguisées...
Un roman graphique étonnant, qui sans cesse nous interroge sur nos relations aux autres. Une histoire tour à tour teintée d’humour et d’amertume, qui nous donne à réfléchir... pour ne jamais avoir à lancer une telle invitation.
Mon avis
Je n'aime pas les dessins. Mais l'histoire est belle, avec cette relation qui semble difficile entre Raphaël et Léo, le premier ayant toujours plus ou moins "suivi" le second, mais finalement on se rend compte au final que leur amitié est vraiment forte, et c'est superbe. _________________ Il s’évanouit tout doucement à commencer par le bout de la queue,
et finissant par sa grimace qui demeura quelque temps après que le reste fut disparu. |
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