Posté le: Sam Juil 01, 2006 4:35 pm Sujet du message: La Glace Noire - Michael Connelly
Bon apparemment personne n'a encore parlé de ce roman de Michael Connelly.
La veille de Noël, l'inspecteur Moore est trouvé sans vie dans un motel de Los Angeles. Arrivé sur les lieux, son collègue Harry Bosch se fait virer par ses patrons : c'est un suicide, point final. Furieux, Bosch enquête en douce et comprend que Moore était lié à un trafic de black ice, une drogue nouvelle qui fait des ravages en Californie.
Plus troublant, dans la voiture de Moore il découvre un mot qui lui est clairement destiné. Entre les deux hommes, un étrange dialogue se noue, d'outre-tombe au début, jusqu'au jour où on décèle une mouche dans le corps d'un travailleur mexicain jeté à la décharge publique...
Voilà pour la description officielle ... rajoutez ici les Affaires Internes et deux femmes, et la façon dont l'enfance de Moore et celle de Bosch se ressemble, et vous avez un flic qui cherche à savoir qui était vraiment ce policier.
Un bon polar, classique et efficace. _________________ « Et aussi, je me rappelle,
D’un ange, les ailes. »
Caleb SHOLMES, L dans Le Traducteur Hellène.
Posté le: Sam Aoû 05, 2006 12:22 pm Sujet du message:
Lu sur la recommandation de Mycroft. Bon polar, rondement mené, avec une fin relevée d'un zeste d'action comme Connely aime le faire. Brfe, du haut de gamme comme d'habitude avc cet auteur, sans doute le meilleur auteur de polars dans les années 90.
Inscrit le: 14 Mai 2003 Messages: 207 Localisation: Purgatoire
Posté le: Dim Avr 20, 2008 12:26 pm Sujet du message:
Grand moment de lecture. De plaisir.
Je le recommande vivement, surtout en vacances au bord de la plage, dans une clairière, dans un endroit reculé, là où personne ne vous viendra vous déranger, mettre tous les neuronnes en action pour déguster cette intrigue complexe et pourtant logique. _________________ "Pourquoi devons-nous souffrir ainsi ? D'autres se sont conduits plus mal que moi, et s'en sont sortis sans payer pour autant. J'ai l'impression d'avoir tout le cerveau meurtri, j'ai reçu une terrible rossée de la vérité et je me sens soumis, plein de sagesse et de désespoir, comme si j'avais pris un raccourci menant à la sagesse au travers d'un miroir et que je m'étais vilainement coupé au passage "- Staniland dans "Il est mort les yeux ouvert" Robin COOK
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