Soleil* Super Nov-A
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Posté le: Ven Oct 09, 2020 8:04 am Sujet du message: Le partenariat de Cupidon - Charlène Gros-Piron |
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Alors qu'elle a prévu de passer la soirée de Saint Valentin avec son nouvel amoureux, Jessica reçoit de celui-ci un SMS de rupture. De quoi être bien énervée ! Et de quoi lancer quelques insultes à Cupidon, supposé assurer l'amour en ce jour particulier.
Ni une ni deux, l'ange envoie auprès de la jeune femme une fée, dans un grand pouf pailleté. Célian - car la fée est un homme - doit lui redonner foi en l'amour avant la fin de la soirée, suite à quoi Jessica oubliera tout mais devra répandre l'amour autour d'elle pendant une année.
Le hic, c'est que malgré les merveilles qu'il sort du chapeau, Célian échoue inexplicablement à convaincre Jessica qu'elle pourra retrouver l'amour pour elle-même...
Le Partenariat de Cupidon est une romance fantastique humoristique. La romance va droit au but, avec à peine quelques incompréhensions mutuelles, et pourra sembler un peu creuse à qui aime les relations croustillantes et les démêlés incessants. L'aspect fantastique lui s'invite à chaque page ou presque : interlude au pays des bonbons, créatures toutes plus improbables les unes que les autres allant du Bisounours au dragon en peluche (mais cependant bien vivant)... Quant à l'aspect humoristique, c'est clairement celui qui m'a semblé le plus important : l'ensemble est fait pour donner le sourire, loin des soucis du quotidien. Malgré ce ton léger, l'autrice glisse un omniprésent message de foi en l'amour, qui ne vaut pas seulement pour la période de la Saint Valentin !
C'est un texte très court, à peine une centaine de pages, ce qui fait qu'on peut le lire très rapidement. Je le conseille à tous les amateurs de romance légère qui aiment la guimauve... que ce soit dans les sentiments ou dans les bonbons !
Chronique réalisée pour Les Chroniques de l'Imaginaire _________________ Il s’évanouit tout doucement à commencer par le bout de la queue,
et finissant par sa grimace qui demeura quelque temps après que le reste fut disparu. |
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